Comment aimer les week-ends ? On les attend toute la semaine, car on aura pas à se lever. On pourra faire ce que bon nous semble, quelque soit l'heure. Et au final, cinq jours plus tard, ils sont là. Vendredi: écrasé par la fatigue, on lutte un peu, pour profiter de ce temps libre. On se couche tard, on se réveille trop tard. La journée est bien entamée. Si on a pas de projets, pas d'amis à voir, on traîne dans le lit.
Quand on se lève, il est trop tard ou trop tôt. On fait le ménage. On glande. On avale les débiles émissions télévisuelles, en même temps que notre chocolat chaud. On s'emmerde. On cherche comment s'occuper. Le ménage ? Il attendra ... Les copains ? Ils sont occupés, où ils habitent trop loin.Léthargiques,on laisse filer les heures. Le dimanche soir, on réalise qu' on a rien fait...
Week-end de merde ! Face à soi-même, au vide de son existence, qu' il faut remplir comme un estomac. Si on ne lui donne rien, pas de regain d'énergie pour la nouvelle semaine. Le week-end chargé, c'est l'opium du travailleur. On se dit qu' on a pas vu le temps passé, qu'on a bien profité. On a pris son shoot car demain c'est reparti: le réveil, le " pas l'temps-pas assez dormi"...
Quand on se lève, il est trop tard ou trop tôt. On fait le ménage. On glande. On avale les débiles émissions télévisuelles, en même temps que notre chocolat chaud. On s'emmerde. On cherche comment s'occuper. Le ménage ? Il attendra ... Les copains ? Ils sont occupés, où ils habitent trop loin.Léthargiques,on laisse filer les heures. Le dimanche soir, on réalise qu' on a rien fait...
Week-end de merde ! Face à soi-même, au vide de son existence, qu' il faut remplir comme un estomac. Si on ne lui donne rien, pas de regain d'énergie pour la nouvelle semaine. Le week-end chargé, c'est l'opium du travailleur. On se dit qu' on a pas vu le temps passé, qu'on a bien profité. On a pris son shoot car demain c'est reparti: le réveil, le " pas l'temps-pas assez dormi"...